Les scandales ne cessent de se multiplier dans ce "pays". Profiter… à en crever!
Le parlementaire du parti politique algérien islamiste "Mouvement de la société pour la paix (MSP ou Hims)", M. Zarfawi Masoud est au cœur d'un scandale. En effet, le député a utilisé le sceau parlementaire (Assemblée populaire nationale (APN)) pour demander l'asile politique pour son fils dénommé "Khalil Zarfawi en Suisse, qui n'est autre qu'un trafiquant de drogue".
Sur le document M. Zarfawi Masoud a déclaré que l'insécurité est en train de s'étendre sur tout le territoire algérien, soulignant que les services de sécurité algériens ne peuvent plus protéger les citoyens algériens.
Les enfants de l’oligarchie algérienne dans un large réseau de trafic de drogue
Les enfants de l’oligarchie algérienne dans un large réseau de trafic de drogue .
Après le scandale de 700 kilos de poudre blanche dont l’auteur est le fils de Tebboune, les algériens assistent à un autre scandale dont l’auteur est le fils du porte-parole du gouvernement algérien, Ammar Belhimer, et ministre de la Communication.
En effet, le fils du porte-parole du gouvernement algérien, Ammar Belhimer, et ministre de la Communication, est toujours placé en garde-à-vue dans une brigade de la Gendarmerie Nationale de la wilaya de Relizane à la suite de son arrestation il y a de cela trois jours pour trafic de drogues, a confirmé Algérie Part au cours de ses investigations. Or, des “interventions” tentent de faire pression sur les enquêteurs des services de sécurité pour remettre en liberté le fils du ministre algérien afin d’étouffer ce scandale et empêcher ainsi sa présentation devant la justice pour qu’il s’expliquer devant des juges à propos de son implication dans un vaste trafic de stupéfiants.
Âgé d’une trentaine d’années, le jeune fils d’Ammar Belhimer, Boumédiene Belhimer, tente pour le moment de se “faufiler” devant les enquêteurs des services de sécurité en expliquant que la quantité de drogues interceptée dans le véhicule qu’il conduisait ne lui appartient pas. Un avocat est venu l’assister pour l’aider à tromper la vigilance des enquêteurs de la gendarmerie nationale qui cherchent à établir la vérité sur l’origine de cette quantité de stupéfiants récupérée dans le véhicule du fils du ministre de la Communication.
A Relizane, de nombreuses sources sécuritaires craignent que les pressions exercées par des “interventions” d’en haut sur les services de la gendarmerie nationale aboutissent à la remise en liberté du fils du porte-parole du gouvernement sabotant ainsi sa présentation devant un tribunal compétent, la seule instance habilitée qui pourrait le soumettre à une enquête officielle. Si le fils d’Ammar Belhimer n’est pas présenté dans les heures à venir devant les juges, il risque bel et bien d’échapper définitivement à des éventuelles poursuites judiciaires continuant ainsi de jouir d’une parfaite impunité alors que pour de simples joints, des simples jeunes citoyens algériens se retrouvent derrière les barreaux pour une période de 7 années de prison ferme…
Le fils de Tebboune et d’autres individus proches du régime arrêtés dans une affaire des 700 kg de cocaïne
En mai 2018, une affaire impliquant le fils du nouveau « président » algérien Abdelmadjid Tebboune avait défrayé la chronique. En effet, le nom de Khaled Tebboune était ressorti dans l’affaire des 700 kilos de cocaïne saisis dans un port algérien en mai 2018. Le principal accusé dans cette affaire se nomme Kamel Chikhi, un sulfureux homme d’affaires algérien qui a été mis en cause dans plusieurs affaires douteuses. Khaled Tebboune, le fils du président algérien est un habitué des affaires sombres, courant 2018, alors qu’Abdel Aziz Bouteflika tenait encore les rênes de l’Algérie.
Dès son élection, le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’a pas hésité à sortir de prison son fils, Khaled, impliqué dans une grosse affaire de drogue. Les manifestants du « hirak » avaient alors qualifié Abdelmadjid Tebboune de président cocaïne, en référence à l’affaire de l’importante quantité de drogue saisie dans laquelle son fils est cité.
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